Assassin habite au 21 (L’), Henri-Georges Clouzot, 1942

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Bande annonce

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Mots clés
Henri-Georges Clouzot, Pierre Fresnay, Suzy Delair, policier, thriller, comédie, ville, huis-clos
pension, hôtel, salon, espace commun, décor, stylisation

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Résumé

Un clochard, qui vient de gagner une forte somme à la loterie, est la cinquième victime d’un mystérieux assassin qui signe ses crimes d’une carte de visite au nom de M. Durand. Le commissaire Wenceslas Vorobeïtchik — que tout le monde appelle Wens — se voit donner deux jours pour l’arrêter. Mila Malou, son amie, veut être engagée par un imprésario, qui lui fait comprendre que si elle avait son nom dans le journal, comme M. Durand, il l’engagerait. Elle a alors l’idée d’arrêter celui-ci.

L’assassin tue encore. Mila est arrêtée alors qu’elle est à la recherche de M. Durand et finit par demander qu’on appelle Wens. Un agent veut arrêter un homme ivre, perché sur un bec de gaz, qui vient de l’injurier. Il tire sur ses habits, pour le faire descendre. Il déchire ainsi la poche de sa veste d’où tombe, sans qu’il s’en rende compte, un lot de cartes au nom de M. Durand. Au commissariat, Wens reconnaît l’homme, Turlot, à qui il a déjà eu affaire. Il détermine alors l’adresse de M. Durand : une pension au 21 avenue Junot. Cette adresse, il l’a découverte grâce aux cartes que l’agent avait ramassées et que Turlot avait dérobées dans une commode de la pension. Wens laisse à Mila une lettre à remettre au préfet, sous deux jours, et lui révèle qu’il espère arrêter M. Durand.

La pension du 21 est dirigée par Mme Point, la gérante, pour qui travaillent Armand et Juliette. Au matin, le salon de la pension accueille les hôtes : Collin, un petit artisan ; Mlle Cuq, une romancière qui n’a toujours pas été publiée ; le Dr Linz, un ancien de la Coloniale, boiteux ; Lalah-Poor, un fakir. Se présente le pasteur Lester, qui n’est autre que Wens, cherchant une chambre. Mila ouvre la lettre au préfet que Wens lui a laissée. Wens croise les derniers pensionnaires, Kid Robert, un ancien boxeur aveugle et son infirmière, Vania. Feignant de s’être trompé de porte, Wens entre chez Collin, qui fabrique des pantins sans visage… comme l’assassin sans visage, M. Durand. Il apprend de lui que le Dr Linz a été poursuivi pour une affaire d’avortements et que Lalah-Poor, sans engagement depuis des mois, doit vivre d’affaires louches. Wens va voir Lalah-Poor : en entrant dans sa chambre, il découvre Linz en train de fouiller la valise du fakir…

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Extrait du film

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