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Bande annonce
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Mots clés |
Francis Ford Coppola, Adam Driver, Giancarlo Esposito, Nathalie Emmanuel, Aubrey Plaza, science-fiction, utopie |
plan, dessin, gratte-ciel, citation, lieu de pouvoir, salle de spectacles, urbanisme |
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Résumé
(d’après wikipedia)
À New Rome, allégorie de New York, une jeune femme Julia Cicero est partagée entre la loyauté envers son père Franklyn Cicero, le maire de la ville, et son amant, l’architecte Cesar. Si le premier a une vision conservatrice de la société, Cesar est plus progressiste et tourné vers l’avenir. Après une catastrophe qui a ravagé la ville, l’architecte veut recréer la cité et en faire une utopie, alors que le maire, corrompu, y est totalement opposé.
Courant 2001, Francis Ford Coppola commence à organiser des lectures du scénario avec différents acteurs. Il tourne également de nombreuses images de New York (près de 30 heures) avec Ron Fricke, qu’il détruira finalement après les attentats du 11 septembre. Les attentats remettront finalement en cause le projet Megalopolis : « Cela a rendu les choses vraiment difficiles… un film sur l’aspiration à l’utopie avec New York comme personnage principal et puis tout d’un coup vous ne pouviez pas écrire sur New York sans simplement traiter de ce qui s’est passé et des implications de ce qui s’est passé. Le monde a été attaqué et je ne savais pas comment essayer de faire avec ça. j’ai essayé. ». En 2007, Francis Ford Coppola déclare publiquement qu’il a abandonné le projet.
Finalement, le projet Megalopolis est relancé douze ans plus tard quand le cinéaste en reparle en mai 2019. Il est révélé qu’il a approché Jude Law et Shia LaBeouf pour les rôles principaux.
Francis Ford Coppola déclare qu’il s’inspire de la chute de la république romaine avec la conjuration de Catilina, d’où les noms des personnages de Megalopolis. La situation politique doit se refléter avec la politique contemporaine américaine. Le maire Cicero est basé sur David Dinkins. César combine Robert Moses, Frank Lloyd Wright, Raymond Loewy, Norman Bel Geddes ou Walter Gropius. Dans une note, il cite une quarantaine d’influences dont Voltaire, Pirandello, Spinoza, Fellini, Murnau, Dickens, Wells et Mizoguchi. Les références cinéphiles sont Alfred Hitchcock, Federico Fellini, Fritz Lang, Orson Welles et Le Dictateur de Charlie Chaplin.
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Extrait du film